Comment faire face à un manager toxique ?

Que faire si votre manager est toxique ? Quelqu’un qui n’apprécie jamais, qui critique constamment sans donner de feedback constructif, qui crée une atmosphère de peur et de méfiance, et qui doit recruter des membres de son équipe encore et encore car tout le monde s’en va rapidement. Et que se passe-t-il si les RH disent « pas mon cirque, pas mes singes » ?
Une situation difficile est le moins que l’on puisse dire. Alors : Tryangle à la rescousse. Nous vous dévoilons nos meilleurs conseils pour y faire face.

Conseil n° 1 : choisissez vos batailles

Décidez si c’est une bataille que vous voulez mener. Vous seul pouvez décider si vous pouvez, voulez ou osez faire quelque chose à ce sujet. Soyez conscient du risque potentiel que si vous commencez à soulever la question ou à chercher d’autres solutions, votre bien-être – ou votre emploi – pourrait bien être encore plus compromis.

Cette prise de conscience et ce choix constituent un premier pas important. Votre position au sein de l’organisation joue un rôle crucial à cet égard. Au niveau de la direction, les chances de franchir cette étape peuvent être moindres que si vous occupez un poste stratégique où vous avez plus de possibilités de participation ou d’options.

Conseil n° 2 : prenez soin de vous

Il est également essentiel d’examiner votre personnalité et votre niveau de confort. Comment voulez-vous aborder cette histoire ? Quelle voix voulez-vous utiliser ? Quel canal et quelle technique de communication vous conviennent, à vous et à votre rôle ? Avec qui allez-vous engager la conversation ? Allez-vous vous adresser directement et à genoux à la source de la toxicité, puis utiliser toutes les bonnes techniques de retour d’information et de conversation possibles pour commencer ? Ou bien trouverez-vous des soutiens au sein de l’équipe ou de l’entreprise ? La prise en charge de soi et le réconfort doivent absolument être au cœur de cette démarche.

Conseil n° 3 : faire appel à une source externe

Dans certains cas, il peut être préférable d’entamer la conversation avec l’aide d’une partie externe et objective, d’un confident ou d’un médiateur, de sorte que vous ayez à être moins direct. Les parties externes ont également tendance à être moins gênées par les agendas cachés ou les processus politiques. Ne pas agir seul, surtout si vous n’êtes pas au sommet de la hiérarchie, peut certainement être utile dans un tel contexte avec des conversations potentiellement animées.

Conseil n° 4 : la serviette sur le ring

Enfin, une autre option – même si elle n’est peut-être pas la plus attrayante – pourrait consister à chercher lentement un autre poste. Examinez si vous pouvez continuer à être vous-même dans cette équipe ou ce département – ou cette organisation – et si vous pouvez encore vous sentir bien dans votre peau. Après tout, il peut être très épuisant de devoir constamment lutter ou mettre de côté une situation injuste ou démotivante.

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